19 février 2006
Les seules étoiles de Paris...
Dans les nuits illuminées de cette fourmilière au dôme trop souvent gris et à l'horizon limité, de temps à autre dans ses artères bondées on voit déambuler des astres brillant, comme un joyau merveilleusement taillé. Et lorsque, demoiselle, mon regard vous effleure, comme pour vous dénuder, je vois au fond de vos beaux yeux votre contentement et votre effroi devant... Souriez vous alors, que dans la lumière blafarde des réverbères, je vois l'apparition d'un soleil de juin et mon coeur tout entier est atteint...
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